Archives pour la catégorie Oldies

souvenirs, souvenirs : The Sparks , « kimono my house « 

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Et oui et oui , un copain m’avait fait écouter ça ( sur disque vinyl , bien sûr , c’était pendant la préhistoire , en 1975 !!! ). Bien qu’à l’époque j’étais plutôt branché « west coast  » , j’avais quand même aprécié….

pour toutes et tous, encore une wonder woman…

… et celle-là n’est pas fictive puisqu’il s’agit de B.B. , photographiée sur les toits de Paris en 1952 par Walter Caronne  pour le  non moins célèbre « Paris-Match  » qui va fêter ses 70 ans…


et non , elle ne va pas sauter du toit pour s’envoler , et non , on voit  pas s’il y a des traces de maillot sur sa peau , et non on ne trouve pô de costume pour s’habiller pareil…{#}

Blog de libertyphil :Un espace de liberté , de musique , de culture..., pour toutes et tous, encore une wonder woman...

remember : Daevid Allen vous rappelait déjà « It’s the time of your life »

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Et oui , dans cet album « bananamoon » qui réunissait des musiciens du Soft Machine et connexes, Daevid vient nous rappeler – dès 1970 – que c’est le moment de vivre notre vie…

Steppenwolff 1969 ….(2) Magic carpet ride

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En fait , plus que « Born to be wild » c’était surtout « magic carpet ride » qui me faisait rêver le plus . La voix chaude et bien timbrée de John Kay , le rythme soutenu et le style psychédélique faisaient mon bonheur… Et en fait je viens de redécouvrir ce fabuleux titre et ça continue à me plaire un max !!!

té , je vous mets les paroles , et laisser vous emporter sur le tapis magique de Steppenwolff , les amis !!


Magic carpet ride

 

John Kay  – Steppenwolff

 

I like to dream yes, yes, right between my sound machine
On a cloud of sound I drift in the night
Any place it goes is right
Goes far, flies near, to the stars away from here

Well, you don’t know what we can find
Why don’t you come with me little girl
On a magic carpet ride
You don’t know what we can see
Why don’t you tell your dreams to me
Fantasy will set you free
Close your eyes girl
Look inside girl
Let the sound take you away

Last night I held Aladdin’s lamp
And so I wished that I could stay
Before the thing could answer me
Well, someone came and took the lamp away
I looked around, a lousy candle’s all I found

Well, you don’t know what we can find
Why don’t you come with me little girl
On a magic carpet ride
Well, you don’t know what we can see
Why don’t you tell your dreams to me
Fantasy will set you free
Close your eyes girl
Look inside girl
Let the sound take you away,

Steppenwolff 1969 ….

Steppenwolf est un groupe de rock canadien des années 1960 et 1970, surtout connu pour les succès  de Born to Be Wild, Magic Carpet Ride ainsi que The Pusher. Le nom du groupe vient d’un roman de  l’auteur allemand Hermann Hesse, Der Steppenwolf .
La mère de John Kay, le leader du groupe, s’enfuit de République démocratique allemande (en fait, de Prusse-Orientale) alors qu’il avait 4 ans, un épisode qu’il racontera plus tard dans la chanson Renegade de l’album Steppenwolf Seven. Sa famille s’installera d’abord à Hanovre, en Allemagne de l’Ouest, puis émigrera au Canada en 1958. John Kay est atteint d’achromatopsie, maladie génétique dont les symptômes sont une absence totale de vision des couleurs, une forte photophobie, et une très faible acuité visuelle.
À l’origine, les membres du groupe sont:
•    John Kay, chant et guitare électrique
•    Jerry Edmonton (en), batterie
•    Michael Monarch (en), guitare
•    Goldie McJohn (en), orgue et claviers
•    Rushton Moreve (en), basse
En 1968, Nick St. Nicholas (en) remplace Moreve à la basse.
John Kay commence à jouer en 1964 à Toronto avec Jerry Edmonton et Goldy McJohn dans un groupe de blues, The Sparrow. En 1967 ils s’installent à San Francisco et forment Steppenwolf.
Le groupe devient immensément connu quand leur troisième single, Born to Be Wild, ainsi qu’une autre de leurs chansons, The Pusher, furent utilisés dans le film Easy Rider, de Denis Hopper avec Peter Fonda, Jack Nicholson et lui-même dans les rôles principaux. Born to be Wild est devenu un grand classique rock de la rébellion et est toujours l’hymne des Hell’s Angels. D’autres succès suivirent comme Magic Carpet Ride de l’album Steppenwolf the Second
 et Rock Me de l’album At Your Birthday Party.
De nombreux fans considèrent le double album Steppenwolf Live comme leur meilleur disque. Les albums les plus politiques du groupe sont Monster et For Ladies Only, véritables clichés instantanés des attitudes rock ‘n roll de l’époque (fin des années 1960, début des années 1970).
Le groupe se sépara en 1971, et John Kay entama une carrière solo. Steppenwolf se reforma en 1974 avec l’album Slow Flux, puis se sépara à nouveau en 1976. John Kay reforma encore une fois le groupe au début des années 1980 et partit en tournée sous le nom « John Kay et Steppenwolf ». Il sortit également un album solo en 2001.


source : wikipedia…..   merci merci  ! Dire que Steppenwolff a bercé mon enfance…. Au grand dam des voisins dont les décibels de John Kay ne convenaient pas à leurs oreilles ….